Les députés hongrois rejettent la réforme anti-migrants de Viktor Orban
- il y a 7 ans
Un nouveau camouflet pour Viktor Orban.
A deux voix près, mardi, le parlement hongrois a rejetté le projet de réforme constitutionnelle anti-migrants que le Premier ministre proposait.
Hongrie: camouflet pour Viktor Orban et sa politique antimigrants https://t.co/hrqhqdDfuV #AFP pic.twitter.com/F4BK8Ty5lK— Agence France-Presse (@afpfr) 8 novembre 2016
Jusqu’au bout, le parti Jobbik d’extrême droite a fait monter les enchères. Le Jobbik exigeait que l’Etat supprime aussi un régime de permis de résidence accordé aux riches investisseurs non européens.
Mais le Premier ministre a refusé ce “chantage”. Au final, ni les députés de gauche, ni les députés d’extrême droite n’ont participé au vote.
Viktor Orban voulait amender la Constitution pour y inscrire l’impossibilité de relocaliser en Hongrie les migrants arrivés en Europe, comme le souhaite l’Union européenne.
Le Premier ministre refuse d’accueillir les 2.300 demandeurs d’asile prévus dans le cadre du plan européen de répartition.
Début octobre, Viktor Orban avait déjà perdu de peu un référendum contre la politique migratoire de l’UE.
Avec Agences
A deux voix près, mardi, le parlement hongrois a rejetté le projet de réforme constitutionnelle anti-migrants que le Premier ministre proposait.
Hongrie: camouflet pour Viktor Orban et sa politique antimigrants https://t.co/hrqhqdDfuV #AFP pic.twitter.com/F4BK8Ty5lK— Agence France-Presse (@afpfr) 8 novembre 2016
Jusqu’au bout, le parti Jobbik d’extrême droite a fait monter les enchères. Le Jobbik exigeait que l’Etat supprime aussi un régime de permis de résidence accordé aux riches investisseurs non européens.
Mais le Premier ministre a refusé ce “chantage”. Au final, ni les députés de gauche, ni les députés d’extrême droite n’ont participé au vote.
Viktor Orban voulait amender la Constitution pour y inscrire l’impossibilité de relocaliser en Hongrie les migrants arrivés en Europe, comme le souhaite l’Union européenne.
Le Premier ministre refuse d’accueillir les 2.300 demandeurs d’asile prévus dans le cadre du plan européen de répartition.
Début octobre, Viktor Orban avait déjà perdu de peu un référendum contre la politique migratoire de l’UE.
Avec Agences