Des jeunes de cité lancent un défi : distribuer des repas aux migrants
- il y a 8 ans
Voilà une nouvelle qui risque de faire cauchemarder Ménard ...
Tout a commencé le 29 septembre dernier quand Malik Diallo, un jeune habitant du quartier des Vignes Blanches, à Sarcelles, a posté une vidéo dans laquelle on le voit accompagné de quelques amis en train de distribuer des repas gratuits.
L'objectif de la vidéo était de lancer un défi à toutes les autres cités et les inviter à les imiter.
Depuis, cette vidéo circule partout sur Facebook et à chaque fois le nom d'une personne à qui le défi est proposé est indiqué
Diaby :
'On a tous adhéré (…) On est parti, à une dizaine de voitures, chargées, à Stalingrad, à Porte de La Chapelle. Les réfugiés nous ont remercié, certains ont même évoqué des bénédictions. Ça nous a fait chaud au coeur'.
Souleymane :
'Il y a même un petit jeune qui a ramené 2 euros. Même le marchand quand on lui a expliqué l’initiative nous a rajouté de la charcuterie (…) Nous sommes des enfants d’immigrés, on a grandi dans la précarité, on a la notion du partage qui est ancrée en nous'.
De quoi redorer le blason de leurs cités trop souvent décriées par la presse et les politiques.
Tout a commencé le 29 septembre dernier quand Malik Diallo, un jeune habitant du quartier des Vignes Blanches, à Sarcelles, a posté une vidéo dans laquelle on le voit accompagné de quelques amis en train de distribuer des repas gratuits.
L'objectif de la vidéo était de lancer un défi à toutes les autres cités et les inviter à les imiter.
Depuis, cette vidéo circule partout sur Facebook et à chaque fois le nom d'une personne à qui le défi est proposé est indiqué
Diaby :
'On a tous adhéré (…) On est parti, à une dizaine de voitures, chargées, à Stalingrad, à Porte de La Chapelle. Les réfugiés nous ont remercié, certains ont même évoqué des bénédictions. Ça nous a fait chaud au coeur'.
Souleymane :
'Il y a même un petit jeune qui a ramené 2 euros. Même le marchand quand on lui a expliqué l’initiative nous a rajouté de la charcuterie (…) Nous sommes des enfants d’immigrés, on a grandi dans la précarité, on a la notion du partage qui est ancrée en nous'.
De quoi redorer le blason de leurs cités trop souvent décriées par la presse et les politiques.