Le car rapide sénégalais 7/7 - montez à bord d’un car rapide sénégalais qui traverse Dakar
- il y a 8 ans
Ce car rapide sénégalais a été conçu au Sénégal, il est aujourd’hui exposé au Musée de l’Homme.
Cette vidéo a été conçue dans le cadre du parcours permanent du Musée de l’Homme (Galerie de l’Homme). Vous pouvez la retrouver dans la 3e partie du parcours : « Où allons-nous ? », associée au “car rapide” exposé dans le parcours.
« Emblématique des transports à Dakar, le car-rapide est le parfait exemple d’un objet mondialisé, dont l’usage s’adapte aux besoins locaux.
Ces fourgons Saviem Renault Super Goélette SG2, produits en Europe de 1965 à 1982, équipaient les entreprises et les administrations européennes. Au fur et à mesure de leurs mises au rebut, ils ont été revendus massivement dans certains pays africains, essentiellement en tant que véhicules de transport en commun. Là, ils ont été réinvestis par des savoir-faire locaux (mécanique, tôlerie, menuiserie métallique…), mais aussi par un art populaire original, à base de motifs traditionnels, de formules protectrices (en wolof, arabe et français), d’amulettes, protégeant le véhicule contre les jaloux, les malfaisants, les pannes ou les accidents. »
Pour en savoir plus sur le Musée de l’Homme : www.museedelhomme.fr
Crédits : Conception scientifique : Alain Epelboin (MNHN) - Réalisation : Drôle de Trame - Direction de production : Lucile Lignon et Alexis Amen (MNHN)
Cette vidéo a été conçue dans le cadre du parcours permanent du Musée de l’Homme (Galerie de l’Homme). Vous pouvez la retrouver dans la 3e partie du parcours : « Où allons-nous ? », associée au “car rapide” exposé dans le parcours.
« Emblématique des transports à Dakar, le car-rapide est le parfait exemple d’un objet mondialisé, dont l’usage s’adapte aux besoins locaux.
Ces fourgons Saviem Renault Super Goélette SG2, produits en Europe de 1965 à 1982, équipaient les entreprises et les administrations européennes. Au fur et à mesure de leurs mises au rebut, ils ont été revendus massivement dans certains pays africains, essentiellement en tant que véhicules de transport en commun. Là, ils ont été réinvestis par des savoir-faire locaux (mécanique, tôlerie, menuiserie métallique…), mais aussi par un art populaire original, à base de motifs traditionnels, de formules protectrices (en wolof, arabe et français), d’amulettes, protégeant le véhicule contre les jaloux, les malfaisants, les pannes ou les accidents. »
Pour en savoir plus sur le Musée de l’Homme : www.museedelhomme.fr
Crédits : Conception scientifique : Alain Epelboin (MNHN) - Réalisation : Drôle de Trame - Direction de production : Lucile Lignon et Alexis Amen (MNHN)