Justice pour Cais #JusticePourCais Non aux crimes sexuels sur nos enfants Manifestation à Paris le 14 juillet 2016
  • il y a 8 ans
Marche pour la Justice
Mobilisation le 14 juillet 2016 à 14h de la Place de la République à Place Vendôme Ministère de la Justice

Cais, 4 ans, a été violenté sexuellement dans son milieu périscolaire le centre aéré de l'école Jules Ferry à Montreuil le 21 juin 2016, date correspondant à la Love Boy Day des pédocriminels. Coïncidence ?

La plainte a déjà été classé sans suite par le Procureur malgré les preuves des certificats médicaux alors que d'ordinaire la Justice est lente pour ses enquêtes avant de rendre une décision.

Montreuil est une ville connue pour son passé lié aux pédocriminels des années 1970 prônant la théorie perverse des intellectuels de l'époque sur la sexualité des enfants et soutenue par des politiciens.

Convention Internationale des Droits de l'Enfant (1989)

Article 24

1. Les Etats parties reconnaissent le droit de l’enfant de jouir du meilleur état de santé possible et de bénéficier de services médicaux et de rééducation. Ils s’efforcent de garantir qu’aucun enfant ne soit privé du droit d’avoir accès à ces services.

Article 29

Observation générale sur son application
1. Les Etats parties conviennent que l’éducation de l’enfant doit viser à :
a) Favoriser l’épanouissement de la personnalité de l’enfant et le développement de ses dons et de ses aptitudes mentales et physiques, dans toute la mesure de leurs potentialités;

Article 34

Les Etats parties s’engagent à protéger l’enfant contre toutes les formes d’exploitation sexuelle et de violence sexuelle. A cette fin, les Etats prennent en particulier toutes les mesures appropriées sur les plans national, bilatéral et multilatéral pour empêcher :
a) Que des enfants ne soient incités ou contraints à se livrer à une activité sexuelle illégale;

Article 37

Les Etats parties veillent à ce que :

a) Nul enfant ne soit soumis à la torture ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

Article 39

Les Etats parties prennent toutes les mesures appropriées pour faciliter la réadaptation physique et psychologique et la réinsertion sociale de tout enfant victime de toute forme de négligence, d’exploitation ou de sévices, de torture ou de toute autre forme de peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, ou de conflit armé. Cette réadaptation et cette réinsertion se déroulent dans des conditions qui favorisent la santé, le respect de soi et la dignité de l’enfant.
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"6) L’agresseur, cette victime innocente !
L'auteur des agressions est en général considéré comme innocent, soit parce qu'il serait victime d'une machination que la victime aurait mis en place, soit parce que la victime n’avait pas compris qu'il s'agissait d'un jeu, d'humour, ou qu'il était tout simplement amoureux, ou encore soit parce que ce ne serait pas de sa faute : «il est comme ça, tu sais bien ! il a des pulsions», «la victime l'a certainement provoqué», «il avait bu, il ne s'est pas rendu compte, il n'a pas compris que la victime n'était pas consentante…». De plus il bénéficie des symptômes psychotraumatiques présentés par la victime à la fois pour se disculper («de toutes façons, elle est folle, elle ment…etc.») mais aussi pour agresser en toute sécurité, les victimes étant sidérées, dans un état d’anesthésie émotionnelle, avec un sentiment d’irréalité et des troubles mnésiques."

1) Des agresseurs au long cours
Les violences sexuelles commises sur les enfants (il faut éviter de parler d'abus sexuels, terme qui peut sous-entendre qu'un acte sexuel serait possible s'il n'était pas abusif) font partie des violences les plus impensables et les plus insensées, elles peuvent être commises sur des enfants très jeunes, voire même des bébés. En cela elles génèrent chez les agresseurs (qu'il vaut mieux nommer pédocriminels plutôt que pédophiles) des stress encore plus extrêmes puisqu'il s'agit de violences inouïes, et des disjonctions encore plus violentes, avec des quantités très importantes de drogues dissociantes sécrétées par le cerveau, et donc des addictions sévères à ces violences. Ces prédateurs deviennent des toxicomanes à la pédocriminalité, avec une dépendance à cette violence extrême qu'ils recherchent en permanence, mettant en œuvre des stratégies et des scénarios très élaborés pour piéger leurs victimes. Le plus souvent ils agressent toute leur vie de nombreux enfants, avec une longue carrière de criminels ; ils peuvent commencer tôt à l'adolescence, puis continuer dans le cadre de leur famille (leurs enfants, leurs neveux et nièces), dans le cadre de leur travail
http://www.memoiretraumatique.org/memoire-traumatique-et-violences/violences-sexuelles.html
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Comité international pour les droits de l'enfants :
Rapport mai nov 2012 Lausanne sur la base des archives et d'ouvrages sur les réseaux pédocriminels EU, FR, BE à partir des années 1990 démontrant l'ampleur...
http://www.cide.ch/CIDE_Reseaux.pdf
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