Les cafés et les théâtres ont bien du mal à se remettre des attentats de novembre dernier. La plupart des lieux vivants ont enregistré de fortes baisses de fréquentation en décembre, conséquence directe des attaques ayant frappé Paris un mois avant. Les théâtres ont par exemple essuyé une diminution de 30%, et les salles ne font pas encore le plein. Le restaurant Le Pied de Cochon, ouvert 24 heures sur 24 depuis la fin de la guerre, doit lui aussi fermer ses portes au moins quatre nuits par semaine.