Cría cuervos, regards d'une enfance

  • il y a 8 ans
Lorsqu'Anna avait décidé que son père allait mourir, il était mort, dans les bras d'Amélia, sa maîtresse. C'est sans doute pour cela que, réfugiée dans son univers, la petite fille triste avait cru posséder le pouvoir de donner et retirer la vie... Depuis la disparition de leur père, c'est la tante Paulina qui, tant bien que mal s'occupait d'Anne, de ses sœurs, Irène et Maïté, et de leur grand-mère paralytique, perdue dans ses souvenirs. En compagnie d'une domestique dévouée, Rosa, toujours prête à évoquer avec sincérité et maladresse devant les enfants la triste vie de leur mère Maria, morte après une douloureuse maladie..