Les premières analyses d'une des deux boîtes noires renforce la thèse de l'attentat qui pourrait être à l'origine du crash de l'avion russe dans le Sinaï. "La boîte qui donne des informations sur les paramètres de vol a été lue, mais s'arrête d'un seul coup, ce qui signifie que l'avion n'existe plus alors", explique le spécialiste iTELE des questions scientifiques Michel Chevalet. Et d'ajouter : "Cela signifie que les transmissions ont été coupées, ce qui accrédite la thèse d'une explosion". Le responsable égyptien de l'enquête sur ce crash doit tenir une conférence de presse à ce sujet samedi après-midi.