Atelier 2 : Potentiel et limites de la consommation collaborative
- il y a 9 ans
PARCOURS CONSOMMATION
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Si la consommation collaborative reste encore en recherche de définition, c'est sans doute pour son jeune âge mais surtout parce qu'elle recouvre des pratiques, des domaines et des formes très différentes.
Pourtant, qu'il s'agisse de co-voiturage, de prêt de matériel, de location, de troc, de revente, l'argument environnemental revient souvent comme point commun à ces nouveaux modes de consommation.
Si en théorie l'usage collaboratif des objets peut permettre d'en réduire le nombre, et donc les ressources pour les produire et les utiliser, les transferts d'impacts, l'usure accélérée de certains objets ou encore les possibles effets rebonds doivent être examinés de près.
• La consommation collaborative permet-elle vraiment de limiter notre impact environnemental ?
• Quels sont les premiers résultats d’études et d’enquêtes ?
• Quelles sont les conditions de durabilité de ces pratiques ?
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Si la consommation collaborative reste encore en recherche de définition, c'est sans doute pour son jeune âge mais surtout parce qu'elle recouvre des pratiques, des domaines et des formes très différentes.
Pourtant, qu'il s'agisse de co-voiturage, de prêt de matériel, de location, de troc, de revente, l'argument environnemental revient souvent comme point commun à ces nouveaux modes de consommation.
Si en théorie l'usage collaboratif des objets peut permettre d'en réduire le nombre, et donc les ressources pour les produire et les utiliser, les transferts d'impacts, l'usure accélérée de certains objets ou encore les possibles effets rebonds doivent être examinés de près.
• La consommation collaborative permet-elle vraiment de limiter notre impact environnemental ?
• Quels sont les premiers résultats d’études et d’enquêtes ?
• Quelles sont les conditions de durabilité de ces pratiques ?