REPORTAGE - Vidéo : les ouvriers du textile au Bangladesh toujours en danger

  • il y a 10 ans
Un an après l’effondrement au Bangladesh du Rana Plaza, qui a causé la mort de plus de 1 100 ouvriers, les progrès en matière de sécurité peinent à se mettre en place dans la filière textile. Les familles des victimes déplorent, elles, des retards dans l'acheminement de l'aide financière.
Les ateliers de la misère perdurent au Bangladesh, un an après l’effondrement du Rana Plaza, un immeuble de huit étages, situé dans la banlieue de Dacca, abritant des ateliers du textile. À la suite de ce drame, qui a causé la mort de plus de 1 100 ouvriers, des efforts ont été faits en matière de sécurité – 16 usines ont été fermées et l'association des fabricants et exportateurs de textile du Bangladesh (BGMEA) a ordonné la fermeture de 23 ateliers. Pourtant, le gouvernement bangladais peine à imposer des règles strictes dans ce secteur clé, qui représente 80 % des exportations du pays.
Ainsi, juste en face des ruines du Rana Plaza, un immeuble semblable continue, lui, de fabriquer des tonnes de vêtements destinés aux marchés occidentaux dans les mêmes conditions qu'avant la catastrophe, au mépris des normes de sécurité. Dans un autre atelier, employant 400 personnes, les règles telles que le port du masque, protégeant contre les infections créées par la poussière, sont peu appliquées.
En avril 2013, la catastrophe du Rana Plaza avait révélé la face somb... Lire la suite sur notre site web.

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