Contrôle au faciès, l'Etat poursuivi

  • il y a 11 ans
Non militantes selon leurs avocats, treize personnes, étudiantes, salariées, noires ou arabes, âgés d'environ 18 à 35 ans, s'estimant victimes de contrôles de police au faciès ont attaqué en justice, mercredi 3 juillet, le ministère de l'intérieur. Les juges ont entendu les plaignants, en première audience mercredi 3 juillet à 13h30, au Tribunal de Grande Instance de Paris, salle des criées.

Recommandée