Carcassonne : Gérard Larrat blanchi par la justice dans l’affaire des fausses procurations :
- il y a 11 ans
http://www.tvcarcassonne.com TVcarcassonne : Interview radio exclusive de Gérard Larrat, ce mercredi 3 juillet 2013 dans l’édition de 12h, présentée en direct par François Mourad, sur Chérie FM Aude (99.6 FM).
Après 5 ans d’enquête, le juge d’instruction, l’avocat général et le président de la Chambre d’Instruction de la Cour d’Appel d’Aix-en-Provence, ont décidé hier (mardi 2 juillet 2013) que l’ancien maire de Carcassonne Gérard Larrat ne serait pas jugé pour l’investigation ou l’organisation d’une fraude électorale mais « seulement » pour ne pas avoir révisé les listes électorales (ndlr : Gérard dit être là aussi très serein car il n’était « même pas membre de la commission administrative de révision de ces listes »).
Après avoir clamé son innocence durant ces 5 années d’instruction qui ont divisées les carcassonnais, Gérard Larrat s’est dit soulagé, pour lui, pour sa famille et pour ses proches « qui ont beaucoup souffert de cette calomnie ». Gérard Larrat a également annoncé « si quelqu’un se permet aujourd’hui d’associer mon nom à celui de fraudeur, il sera condamné ».
A 8 mois seulement des élections municipales de mars 2014, Gérard Larrat pourrait maintenant « jeter toutes ses forces » dans la campagne, face au maire sortant Jean-Claude Pérez mais face peut-être aussi, face à la candidate de l’UMP Isabelle Chésa :
Après 5 ans d’enquête, le juge d’instruction, l’avocat général et le président de la Chambre d’Instruction de la Cour d’Appel d’Aix-en-Provence, ont décidé hier (mardi 2 juillet 2013) que l’ancien maire de Carcassonne Gérard Larrat ne serait pas jugé pour l’investigation ou l’organisation d’une fraude électorale mais « seulement » pour ne pas avoir révisé les listes électorales (ndlr : Gérard dit être là aussi très serein car il n’était « même pas membre de la commission administrative de révision de ces listes »).
Après avoir clamé son innocence durant ces 5 années d’instruction qui ont divisées les carcassonnais, Gérard Larrat s’est dit soulagé, pour lui, pour sa famille et pour ses proches « qui ont beaucoup souffert de cette calomnie ». Gérard Larrat a également annoncé « si quelqu’un se permet aujourd’hui d’associer mon nom à celui de fraudeur, il sera condamné ».
A 8 mois seulement des élections municipales de mars 2014, Gérard Larrat pourrait maintenant « jeter toutes ses forces » dans la campagne, face au maire sortant Jean-Claude Pérez mais face peut-être aussi, face à la candidate de l’UMP Isabelle Chésa :